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Le blog d'Ange Paul

23 janvier 2007

Un abbé est mort de foi !

L’Abbé Pierre est mort de foi en plein coeur d'un hiver spirituel

Il est parti  les poches vides en laissant derrière lui les problèmes qu’il n’aura put régler ! Obsèques nationales, ou restreintes, Panthéon dans lequel il aurait eut peur de s’ennuyer ? Une tombe presque anonyme dans un petit cimetière au milieu des oiseaux et des fleurs fanées voilà qui est infiniment préférable !

L’humanité regrette son Abbé Pierre que pourtant elle ne cherche plus !

L’humanité se noie dans un paradoxe duquel il n’y a qu’un Dieu qui puisse la tirer !

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23 janvier 2007

Un abbé est mort de foi !

L’Abbé Pierre est mort de foi en plein coeur d'un hiver spirituel ! Il est parti  les poches vides en laissant derrière lui les problèmes qu’il n’aura put régler ! Obsèques nationales, ou restreintes, Panthéon dans lequel il aurait eut peur de s’ennuyer ? Une tombe presque anonyme dans un petit cimetière au milieu des oiseaux et des fleurs fanées voilà qui est infiniment préférable !

L’humanité regrette son Abbé Pierre que pourtant elle ne cherche plus !

L’humanité se noie dans un paradoxe duquel il n’y a qu’un Dieu qui puisse la tirer !

23 janvier 2007

Voici la liste des mes blogs et site..........

Sans faire connaissance avec mes autres blogs vous aurez du mal à me comprendre si toutefois vous cherchiez à comprendre !

En voici la liste :

Angepaul.net   site pas très à jour parce que cela est difficile informatiquement parlant

espritdebresse.blog.mongenie.com

lavoix.blog.mongenie.com

angepaul.blog.mongenie.com

angepreche.uniterre.com

Bonne lecture et désolé de rappeler à l'homme que vous êtes que votre premeir devoir est de servir l'humanité !

27 décembre 2006

Ma bouteille à la mer

Appel !

Je voudrais proposer à  l’humanité, en attente d’un  nouvel espoir,  ma philosophie. Parce que je crois à la portée humaniste de celle-ci. Même si je n’ignore pas que l’homme a souvent du mal à comprendre ! Mais je suis sans moyens et je n’ai pas le courage de courir et supplier l’éditeur soucieux avant tout de rentabilité !Alors au hasard de quelques blogs, je laisse à la vie à moins que ce ne soit à Dieu le soin de la  faire connaître !

Dieu existe ! même si personne ne le connaît.

27 décembre 2006

Tant qu'il y aura de l'espoir sera la vie

Si la vie n’est qu’un parasite sur quoi vit-elle ?

Maintenant que mon courant de pensées est bien établi, il m’arrive de découvrir    avec surprise mais sans étonnement des pensées audacieuses de grands philosophes, de grands scientifiques que je croyais miennes ! Ce qui veut dire que si   NIEZTCHE, HEINE et d’autres ne les avaient pas pensé,  je les aurai pensé moi-même.

Cela me confirme que la vie est tenace, obstinée à la recherche d’un but précis que nous ne pouvons qu’ignorer puisque nous ne sommes qu’un moyen pour l’atteindre.

Ainsi la vie ne choisit pas selon les mêmes critères que l’homme. Point n’est besoin pour elle que l’homme soit important pour lui, mais pour elle. Elle ne cherche qu’un terrain favorable ou qu’il soit !

La vie s’adapte à son profit et se régénère sans cesse. Mais la vie pense aussi à travers l’homme et sa pensée s’adapte et se régénère ! Elle écarte inexorablement toute idée qui stagne, qui n’a pas d’avenir !

Ainsi la pensée divine qui obsède l’humanité indifférente s’accroche elle aussi comme une branche de lierre au moindre support favorable ! Hélas il y en a peu ! Trop peu ! Mais cela lui suffit !

Il n’y aura pas d’avenir pour l’homme sans Dieu !

Quelle que soit la taille de notre intelligence il faut savoir rester petit pour pouvoir aller vers le plus grand !

Heureusement pour moi toute ma vie je revendiquerai mon appartenance au monde des petits en ignorant le monde des grands !

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24 décembre 2006

Message de Noël

Noël !!! C’est la fête de l’espoir d’un bonheur retrouvé grâce aux petits enfants !

Pourtant déjà demain ce ne sera plus Noël ! Il remportera avec lui l’espoir qu’il voulait nous laisser ! Pouvons nous nous contenter d’espérer un seul jour ?

Tous les enfants d’aujourd’hui seront un jour  les hommes de demain ! Ils feront le monde à leur manière ! Puissent-ils enfin contribuer au bonheur de l’humanité !

Si j’étais le père Noël voilà ce que je dirai aux petits enfants de tous âges :

- Souvenez-vous de ce jour merveilleux,  tant attendu pour le bonheur qu’il procure ! N’est-ce pas merveilleux que d’être heureux de vivre plutôt que de vivre malheureux ?  Quelques heures, quelques jours, tout le temps ?

Il n’y a que vous qui puissiez réussir ce que vos anciens n’ont pas put.

Si à travers le petit Jésus l’espoir à été donné aux hommes,  hélas il existe aussi un drôle de personnage que nous appellerons : le compère jaloux ! Jaloux du bonheur  de tous les hommes ! Même de ceux dont il se sert !

Surtout,  parce que je connais votre générosité n’essayez pas de le combattre avec les armes dont il se sert ! C’est son  piège ! Parce qu’il vous impose ses choix ! Je fais confiance au pouvoir imaginaire des petits enfants pour résister chacun à sa manière !

Lorsque tous les hommes,  même les moins bons auront compris que le compère du mal en veut à l’humanité,  alors les hommes pourront défendre et gagner ce bonheur simple : Celui d’être heureux de vivre pour essayer de vivre heureux !

En attendant vivez heureux en ce jour de Noël ! Tellement heureux que demain puisse encore ressembler à aujourd’hui !

                        Joyeux Noëls

23 décembre 2006

Pas d'écologie sans humanité !

L’encre bleue,

Paroles et musique de A.P. COSTANZO

Pédophilie, infanticide,

De jeunes enfants qui se suicident,

Faux mariages et vrais divorces,

Il n’y a plus d’arbre sous l’ écorce.

Qu’est ce que je fous sur cette terre,

C’est pas la vie  mais c’est l’enfer,

Et nous sommes là tous comme des cons,

A pousser notre petite chanson.

Comme s’il suffit de quelques vers,

Pour faire reculer  Lucifer,

D’autres avant nous  ont essayé,

D’acheter le diable en faux billets.

Qu’est ce que je fous sur cette terre,

Je ne veux plus vivre à l’envers,

C’est pas la vie de mon enfance,

Y avait pas cette indifférence.

Mais je me sens un peu coupable,

D’avoir aidé un peu le Diable,

Quand je restais indifférent,

Aux bons conseils de mes parents.

Ou sont les chansons d’autrefois, 

Que ma mère me chantait parfois,

Elles ont disparues dans l’oubli,

Comme le feront celles d’aujourd’hui.

Quand on a pas encore trente ans,

On a pas vu assez de temps,

Il est normal qu’on comprend pas,

Les vieilles chansons d’autrefois.

Depuis qu’y a plus de père noël,

On a des jouets à la pelle,

Mais on a noyé l’espérance,

Dans l’encre bleue de notre enfance.

Cette chanson où tout trépasse,

Sur le boulevard du temps qui passe,

C’est la chanson de notre vie,

On rit on pleure puis on oublie.

Et si j’étais sur cette terre,

Pour aider ceux qui désespèrent,

A n’plus jouer les sauve qui peut,

Comptez sur moi nous serons deux.

Ange Paul COSTANZO le 27 nov 2003-11-28 Tous droits réservés.

23 décembre 2006

L'espoir fait la vie

         La petite maison de carton

Paroles et musique : A.P. COSTANZO

Les héros de ce poème existent. Ma fille les rencontra lors de vacances en Thaïlande. Elle remarqua que cette mendiante avait un comportement différent des autres. Elle semblait gênée de demander l’aumône, et détournait la tête de son enfant afin qu’il ne vit pas que d’autres plus heureux, suçaient des glaces. A la suite d’une aumône que ma fille ne manquait pas de lui faire chaque jour, elle vit cette jeune mère s’empresser d’acheter de l’eau pour faire boire son petit. J’ai eu beaucoup de plaisir à composer ce poème qui raconte l’histoire de mendiants qui m’ont beaucoup ému.

J’habite dans une petite maison,

Dans un deux pièces tout en carton,

Qu’avec maman on a volé,

Dans un magasin de télé.

On y est à l’abri du vent,

De la pluie et du mauvais temps,

J’y vis depuis un vrai bonheur,

Sauf quand la nuit ma maman pleure.

                                                                                       

Quand vient la nuit, quand vient le soir,                         Refrain :

Nous sommes tous les deux dans le noir,                       Faut pas pleurer,

Pour m’endormir j’aime écouter                                    Vaut mieux rêver,

Des histoires qu’elle sait raconter.                                  Il faut bien vivre,

Toute l’année nous vivons d’aumône,                            Et espérer.

De petites pièces que les gens donnent,

Hier on à fait un festin,

Avec du riz et même du pain.

Toute la journée on voit passer,

Des gens qui ont pas l’air pressés,

Qui sucent des glaces ou des bonbons,

Mais maman dit que c’est pas bon.

Paraît qu’y a des gosses qui ont faim,

Dans de drôles de pays lointains,

Y en a qui meurent de maladies,

Ah! qu’est ce qu’on est heureux ici.

Un jour prochain je serai grand,

J’irai chercher tous ces enfants,

Je leur dirai de plus pleurer,

Avec moi je les ramèn’rai

Alors  y aura plus de misère,

Nous vivrons tous avec ma mère,

On  aura chacun sa maison,

Dans un  village tout en carton.

         Ange Paul COSTANZO Villefranche/saône

         Le 17 Nov 2002

         Tous droits réservés.

23 décembre 2006

Ils donnent pour donner

C’était un pauvre chien.

Il s’appelait Médor !

De plus en plus l’homme se tourne  vers le chien,  pour retrouver chez lui l’affection qui lui manque.

C’est le seul être capable de donner sans ne rien recevoir ! Même le meilleur des hommes ne le peut pas.

C’était un pauvre ère

Qui n’avait presque rien !

Partageant sa misère

Avec un pauvre chien !

Ils étaient si soudés

Qu’ils en étaient plus forts !

Lorsque l’un fatiguait,

L’autre marchait encore

Quand l’homme était malade,

Qu’il s’était enivré,

Le chien frottait sa patte

Comme pour le consoler.

L’animal était là

Toujours plus près encore

De son maître bien las

Il s’appelait Médor !

Parfois il observait

Du coin de l’œil son maître

Simplement il aimait

Sans le laisser paraître.

Guettant le moindre geste,

Le moindre compliment

Il voulait plaire peut-être

C’était son seul tourment

Lorsque  l’homme lui offrait

De boire un peu de vin,

Refusant il craignait

Que cela ne fut bien !

Mais la vie était belle

Sous la moindre caresse

Qu’on n’savait plus lequel

Donnait tant de tendresse.

Ils ont tant échangé

Qu’ils n’avaient plus qu’une âme !

A force de partager

Des joies et même les drames.

Pour rien au monde le chien

N’aurait quitté son maître

Mais hélas le destin

Le lui ravi le traître

Depuis le chien attend

Sans la force de geindre

Que Dieu ou bien le temps ?

Le lui fasse rejoindre.

C’était un pauvre chien

Il s’appelait Médor

C’était le tien le mien

Ils nous aiment très forts.

Ange Paul COSTANZO

23 Dec 2006

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